Facteurs de risques et de prévention des mauvaises cicatrices

Une cicatrice rouge et boursouflée, dure, survenant dans les 24 mois qui suivent l’intervention, est appelée cicatrice hypertrophique. Celle –ci peut dans certains cas encore être résolutive spontanément.

Passé ce délai, on parlera de cicatrice chéloïde (définitive).

Cette dernière aura plutôt tendance à s’aggraver au fil du temps.

Les personnes d’origine asiatique et africaine, sont plus exposées à ce problème, ainsi que les jeunes enfants.

Certaines parties du corps sont plus souvent concernées : sternum, épaules, haut du dos, lobes d’oreilles, voire partie inférieure du visage, sans que l’on sache véritablement pourquoi.

Le massage de la cicatrice dans les suites immédiates de l’intervention, avec une crème cicatrisante, prévient l’apparition d’une mauvaise cicatrice en la rendant plus souple.

En cas de cicatrices persistantes, le traitement par laser de relissage est conseillé.

N’hésitez pas à consulter un dermatologue, qui vous proposera un traitement adapté à votre situation.

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